La grève de la faim a été suspendue mais le mouvement continue. Les conditions actuelles de sélection et de recrutement poursuivent les logiques de précarisation et d’infériorisation de ces professionnel.les toujours en première ligne dans le maintien à flot de nos établissements hospitaliers si fragilisés. À travail égal : statut égal et salaire égal.
Les institutions étatiques, hospitalières et médicales perpétuent un système de domination et de déshumanisation vis-à-vis de nos collègues étranger.es, héritage vivant de notre société postcoloniale.